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dimanche 15 février 2015

l'attraction

Coup tactique. Action qui consiste à attirer une pièce ennemie sur une case inférieure. L'attraction a fréquemment pour finalité un gain de matériel ou un mat.

la qualité aux échecs

La qualité est la différence de valeur des pièces qui sont prises à l'occasion d'un échange de pièces. Lorsqu'on échange une pièce mineure (un fou ou un cavalier qui valent 3 points chacun) contre une tour (elle vaut 5 points), on parle d'avantage de qualité.
Quand on échange un cavalier contre un fou (lequel a plus de valeur en fin de partie que le cavalier en raison de sa plus grande mobilité sur un échiquier vide ou presque vide), on parle de petite qualité.

vendredi 13 février 2015

l'assistance mutuelle indirecte

 
Deux pièces ont une assistance mutuelle indirecte lorsqu'elles se protègent l'une l'autre autrement que par contrôle des cases occupées. Dans l'exemple ci-dessus, les Blancs sont au trait et jouent h7. Le roi noir ne peut pas prendre les pions bien qu'ils ne soient pas protégés car la prise de l'un d'eux se solde par la promotion de l'autre.

l'assistance mutuelle


Il a assistance mutuelle lorsque 2 pièces du même camp se protègent l'une l'autre. C'est le cas, sur le diagramme ci-dessus des 2 tours blanches, des 2 cavaliers blancs ainsi que du pion et du fou respectivement en b3 et c4. Voir l'article assistance mutuelle indirecte.

l'analyse post mortem

Une analyse est dite post mortem lorsqu'elle intervient après la fin de la partie. Il est intéressant d'analyser les parties après les avoir jouées notamment quand celles-ci ont été perdues. C'est vrai en particulier pour les débutants dont les fautes ont un caractère répétitif.
Le grand champion José Raul Capablanca (1888 1942) a dit à ce sujet: "On peut en tirer plus d'utilité d'une partie perdue que de cent parties gagnées".

mercredi 11 février 2015

l'abandon

Il y a abandon lorsqu'on fait le choix d'arrêter la partie engagée et de reconnaître la victoire de son adversaire sans attendre la fin effective de la dite partie. L'usage veut qu'on abandonne lorsque la victoire prochaine de l'adversaire est un évidence; on considère que c'est une question de courtoisie vis à vis de cet adversaire. Préalablement à l'abandon deux possibilités doivent être envisagées: faire tomber son adversaire à la pendule si ce dernier manque de temps, chercher le pat qui apportera l'égalité si les circonstances sont favorables.